Difficile à imaginer quand on voit ce genre de photo prise durant le WE. Néanmoins c'est bien sous un véritable blizzard que nous sommes arrivés à Morillon le vendredi soir après avoir traversé la Suisse du nord au sud.

Papa a dû descendre de la voiture pour nettoyer les panneaux indicateurs à la raclette. Quelle joie quand le nom de notre logement est enfin apparu derrière la petite couche de glace ! 500 m plus loin, mais 20 minutes après pour cause de multiples aller-retour, notre destination finale... enfin !

Après le ski et la luge, les enfants ont apprécié les balançoires trouvées au "hasard" de nos balades.

	C?est Marie-Estelle qui commence par pousser Lucie...
	puis Jacqueline qui pousse Corentin
	Remarquez, on s'est laissé dire qu'il n'y avait pas que les enfants qui avaient profité de la balançoire...
	Vous ne trouvez pas que Yoan a un air sournois sur celle-là ? Genre : "Bon, cette fois je lui fais faire 3 fois le tour du portique !"

Mais il n'y a pas que la balançoire non plus dans la vie...

	Yoan, Christel et papa se reposent tranquillement
	Serge, en vrai montagnard qu'il est, a tout de suite compris où se trouvait LA place stratégique du lieu : à la terrase du café !

Allez, encore 2 photos de Victor devant le toboggan (samedi) et prêt à descendre le long du mat (dimanche).

Mais au fait, n'était-ce pas le 1er avril ? Mais si ! Maman avait bien préparé la chose et tout le matériel requis était disponible le jour J à l'heure H pour préparer les petits poissons à l'insu de papa. Tout se serait passé conformément au plan diabolique prévu si Victor n'était allé demander à papa où il avait bien pu ranger le scotch en faisant les bagages. Là, papa a commencé à se douter de quelque chose...

Du coup il a fallu trouver une autre proie... et c'est le pauvre Corentin qui en a fait les frais.

	La proie est repérée...
	et ferrée !
	C'est qu'il a l'air content de lui le bougre !!!
	Corentin, commence quand même à se douter de quelque chose...

Mais où sont les neiges d’antan ?

L’Alsace fut peut-être, il y a longtemps, une région d’hivers froids et neigeux. Mais cette saison, nous avons eu en tout et pour tout 1 semaine de neige en janvier, et 5 jours en mars. Donc pour trouver un peu de poudreuse, nous avons dû aller … dans les Alpes.

Première excursion : à Chatel (la seconde excursion à Morillon... on vous en parlera bientôt, c'est promis).

	Lucie est la Camille Claudel du bonhomme de neige ! Elle sculpte.
	Elle recrute des assistants... ...et met la dernière main à son chef-d’œuvre.

Le lendemain nous avons pris le téléphérique, c’est aussi bien que le manège ! Curieusement il y avait très peu de monde sur la station ce qui a permis de disposer d'une cabine de téléphérique pour nous tous seuls. Par contre cela a empêché papa de s'entraîner à la luge bowling (voir en bas)...

	Victor a découvert pour la première fois le ski (entre les jambes de son papa). Deux tire-fesses étaient à disposition des grands débutants pour leur permettre de s'essayer aux premières chutes descentes... L'expérience plut beaucoup à l'intéressé, ce qui permis la semaine suivante, à Morillon, de prendre rien de moins qu'un télésiège par deux fois pour descendre une lonnnnngue piste.
	Et Lucie dans tout ça... que faisait-elle pendant ce temps ? Et bien elle était occupée avec maman à réaliser 3 mini bonhommes de neige !

Elle n'a pas souhaité monter sur la luge. C'est curieux puisque la veille elle y était montée de bon coeur... ce qui n'apparaît pas du tout sur les photos où l'on voit que c'est surtout papa et maman qui se sont bien amusés avec Victor...

Et la luge bowling dont on vous a parlé avant... qu'est-ce donc ??? C'est très simple, et quelques photos suffiront certainement à vous faire comprendre le principe de ce nouveau sport.

La première photo représente la piste de luge à Chatel.	La seconde, la piste de luge du côté du Markstein dans les Vosges, un week-end de janvier...

Le moins que l'on puisse dire, c'est que le taux d'occupation n'est pas tout à fait le même...

	Première étape de la luge bowling : remonter la luge. Ici c'est Victor qui s'y colle en tirant Lucie.
	Seconde étape : bien viser ! Faire tomber quelques "quilles" est assez aisé mais réaliser des doublés demande une maîtrise hors de portée du débutant. Contre toute attente, aucun blessé n'a été recensé durant la petite heure que nous avons passé au Markstein. Incroyable, non ?